Georges-Henri Lagier est l’un des piliers de la demande de la demande d’inscription de la yole au patrimoine immatériel de l’UNESCO. Dans ce cadre, la belle réussite des « Barrés de la Yole » qui s’est achevé ce dimanche est une bonne opportunité.
« C’est une manifestation très intéressante, très enrichissante et très bénéfique pour le monde de la yole et de la voile traditionnelle. La cohabitation avec les skippers s’est très bien passée ; ils se prêtent au jeu et ils se donnent à fond. Ils ont appris nos techniques durant la 1ère manche et ils ont pu les appliquer lors de la 2ème. Ils se sont vraiment fondus dans l’équipage ; on ne sait même pas qui est le coursier, qui est le skipper. Ils se débrouillent très bien à tous les niveaux.
Ce n’est pas évident de réunir cette excellente brochette de skippers en un seul endroit mais, tant que nous pouvons renouveler ce genre d’opération, il faut le faire. Nous avons une chance inouïe d’avoir pu le faire. Ils ont pu comparer le type de réglage pour la navigation par rapport à eux sur leurs bateaux. Et on se rend compte que, dans les 2 cas, le bon réglage de la voile permet la bonne progression. A ce niveau, ils ont une très fine perception du vent et des réglages.
Sur ce plan d’eau du Diamant, les conditions sont extrêmes. Ils pourront dire qu’ils ont gouté au très haut avec des techniques de virements, des changements de vents, des empannages. C’est vraiment un plan d’eau idéal pour vivre des moments forts. »
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